La gestion de l’énergie dédiée au numérique

S’il y a une notion importante en 2020 en matière d’impact environnemental, c’est bien tout ce qui a trait à l’énergie du numérique, son origine, son utilisation, son économie.

Les émissions excessives de dioxyde de carbone et leurs conséquences catastrophiques nous poussent à agir aujourd’hui. 

En Europe et aux États-Unis, les principales sources d’électricité sont le charbon et l’énergie nucléaire. Il n’y a pas de quoi se réjouir. Cependant, il existe d’autres sources. Certains propriétaires ont choisi une solution plus verte, choisissant des énergies renouvelables comme le solaire, l’éolien ou l’hydraulique.

Comme de nombreuses entreprises, certains DataCenters subventionnent des plans de boisement pour compenser les émissions de dioxyde de carbone de leurs activités.

Cette manière de se débarrasser de la production de carbone est une solution qui ne peut être viable qu’à moyen terme. Compte-tenu de l’empreinte carbone, il est nécessaire de replanter des millions d’arbres, de couvrir la moitié de la France avec des forêts denses comme les Landes, dans l’espoir de compenser tout le carbone produit par les Français.

Les méthodes de refroidissement des serveurs dans les fermes des datacenter doivent également être mises en oeuvre dans les choix durables. En plus de consommer une énergie folle pour faire fonctionner un DataCenter, comme de nombreux réacteurs nucléaires miniatures, les centres de données ont besoin d’un système de refroidissement continu. Imaginez qu’il y ait des dizaines d’ordinateurs stockés dans la même pièce fermée, hermétique, ça chauffe, forcément  ! Dans le cas d’une climatisation élevée, la chaleur est collectée et rejetée dans l’air.

En conséquence, en plus de générer des gaz à effet de serre, il ajoute également une couche de chaleur. 

Le concepteur du nano-serveur à domicile, le principe de WaouW héberge les sites important et ne consomme que 5 watt à l’heure.

Qui dit mieux ?